21/07/2015
Brèves de gauchiste - Le 21/07/2015
Tout ceci est issu de mon ethnologie. Les clichés ont la vie dure. En vérité je vous le dis, le fils de l’homme ne ment pas et vous prie d’excuser une rédaction express combinée sur iPhone durant des déplacements qui disputent ce blog à d’autres écrits.
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Pendant qu'elle est au téléphone, la gauchiste n'hésite pas à pisser, au mépris de son interlocuteur. Tirer la chasse ne sert pas à nettoyer sa miction mais à couvrir le bruit de ses pets. « Le respect », c'est pour les immigrés, qu’elle respecte tant qu’ils restent à leur place. Ainsi de Kémi Séba que la gauchiste « vomit » parce qu’il n'est pas le nègre de maison.
Coucou ! C'est moi SOS FASCISME !
J'arrive ô ma gauchiste !
La gauchiste ronfle parce que ses narines sont enflées de nicotine et avinées. Sa voix de mêlécasse est le résultat de murges entre gauchiasses qui lui ont brisé les cordes vocales. Il en vient un accent reconnaissable entre tous. C'est bien la première fois qu'une époque donne ton à une idéologie sans voix.
La gauchiste adopte, mais un « petit noir » (excepté entre les cuisses, tous les noirs lui sont « petits », comme un animal domestique : racisme larvé) : il est plus simple de traverser la méditerranée que de chercher un « petit » blanc qui est coupable d'être blanc donc ne mérite pas d'être sauvé. Le péché originel est une couleur de peau.
La gauchiste s'empiffre de charcuterie et de fromage. C'est le côté gaulois qu'elle tolère. Là, ce n'est ni populaire ni populiste mais popu. Il fallait bien une apocope pour justifier un mode de vie qui correspondît à ses principes.
La gauchiste est baba-cool. Elle s'habille « lookée » et porte des tifs sales jusqu’aux fesses. Ses vêtements sont poilus de commerce équitable. Informe dedans, elle y fabrique une géométrie contraire à Euclide en sorte qu'il faut la théoriser par la sphère de Lobatchevski.
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La gauchiste fait ses gammes avec les immigrés puis s'entiche et veut « se projeter » avec un beau gars d'un milieu élevé. « Un bon miyeu social ». Intelligent. Bien mis. Bien tourné. L'ennemi, celui qu'elle méprise, elle se case avec lui.
De son propre aveu, ses enfants iront en école privée mais joueront le weekend avec les racailles pour s'endurcir. Son gosse sera livré aux fous tel qu’on faisait chez les spartiates. Et les immigrés lui serviront de bêtes d'entraînement pour son appât de bambin. Mère indigne et raciste, donc. Mais elle peut ! Elle est de gôche.
L'Aristo t'adresse un croisé ô ma gauchiste !
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La gauchiste dit que les noires sont des « bimbos de Châtelet ». Enervement pour un aveu : la noire est si bête qu’elle est bimbo, et si insignifiante qu’elle jongle au ghetto que les bobos lui ont abandonné. Quel mépris. Quelle morgue. Quelle trahison de soi et de ses pensées racistes.
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La gauchiste « milite » ou « lutte » pour l'égalité homme-femme sauf quand il s'agit de payer l'addition qu'elle gonfle de sa gourmandise. Avec elle, la note est toujours obèse (sinon l'hôte est radin).
Promet-elle de payer le vin qu'elle prétexte un malaise afin de justifier qu'elle s'esquive au moment de régler. Elle souffre de gonflements ? Possible vu ce qu'elle ingurgite, c'est-à-dire qu'il n'y a aucune ambiguïté quant à l'origine du mal, mais de là à rester prostrée sous la vesse, le doute est permis.
Il est vrai qu'elle est ballonnée, que ce soit par l’alimentation ou les idées, de sorte que j'exagère peut-être. Mais l'important est de comprendre qu'elle vit de cette anarchie qui confond désordre et boxon, et qu'on trouve chez la bête qui réfléchit. Ce qu'elle prend chez soi pour de la fantaisie est une immense pagaille. Soit qu'elle se mette à raisonner, soit qu'elle commence à penser, c'est une aliénée avant d’être anarchiste. C'est même une acharnée voire une acharniste. Ainsi la gauchiste est hystérique et son mode de vie suit son fonctionnement mental : la crasse est sa substance.
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La gauchiste affirme que la guerre « c'est un truc de gamins », que la guerre n'est pas l'homme dont elle situe la figure héroïque chez le père de famille, bourrelé de sentiments et de niaiseries. Un homme, ça dégouline. C'est même quand il chiale qu'il en est un. Le vaillant derrière la poussette. La guerre est pourtant une comédie quand elle prolonge la politique par d'autres moyens, et une tragédie quand elle perpétue l'enfance, de sorte qu'elle synthétise les deux états de l'homme et qu'elle est donc l'homme. L'homme au sens universel n'est-ce pas, en qui se réalise l'égalité du guerrier et de la guerrière. Que la gauchiste ne s'en avise ? Toute à sa parité, elle devrait. Ce serait autre chose que rataubi, nachat et flop pétrin qui joignent l'utile de la parité à l'agréable de la diversité. Un gouvernement d'amazones, je veux ! Dût-il n'y avoir d’intelligence que de femmes que je ne voudrais qu'elles au gouvernement. Mais le crachat du quota est contraire au principe de la méritocratie républicaine que la gauchiste défend. Pas de mauvaise foi pourtant chez celle-ci qui est donc médiocre. Débile ou idiote, elle bicrave rien et réussit la prouesse de se coller soi-même en s'embrouillant dans la bêtise. Je dis que c'est farfelu pour être gentil quand je l'ai face à moi. Je souligne ses contradictions frottées par le bon sens le plus élémentaire. L’Aristo charmant. Mais je n'en pense pas moins. C'est totalement con. Elle est chtarbée. Pauvre fêlée !
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La gauchiste, dans son souci démocratique, entend faire parler toutes les voix et opinions. C'est pourquoi elle déplore que tout le monde ne pense pas comme elle et considère que les partis de droite devraient être interdits. Que l’un s’avise de penser différemment, il sera aussitôt repris d’un ton comminatoire. Recadré !
Elle crie NO PASARAN. Si contredite, elle choisirait l’exil. On mesure bien sa notion de l’élan résistant qui ne prend pas le maquis mais la fuite. « Si le FN passe, je me casse ! » Oui, barre-toi ! Allez taille ! C’est une raison de plus pour voter Front.
Ce pourrait être rigolo mais quand je me figure que le pays est livré à ces bassets, ça l'est moins.
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La gauchiste ne monte pas dans le RER. Crainte ? Non, c’est que ce n’est pas urbain, « c’est trop banlieue ». C’est pour les immigrés. Et puis « il ne faut pas avoir peur » si l'on en croit cette abrutie qui tient le réel et la frousse pour xénophobes.
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Il me souvient de cette gauchiste. Toujours. Lien morganatique. Elle m'agresse au motif que je lis les articles du GRECE. Alain de Benoist n'est-ce pas. Alors je demande si elle a lu les rapports du GRECE. « Non...mais j'ai cherché sur le net qui dit que ». Le net est le livre rouge du petit-bourgeois. C'est le missel de bob qui ferait mieux de se plonger dans les textes, le papier, le livre bon sang ! La pensée s'y trouve. Au lieu de « se forger un avis ». Éclat de rire ! Quelle ignare ! Et ça me juge ! C'est la bêtise savante. Comme disait Cocteau « le drame survient quand la bêtise pense ».
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La gauchiste est affublée d'un double-menton qu'elle doit moins à son anatomie qu'à sa posture de veule. Elle en augmente le volume avec les années qui stockent ses "idées" à la façon d'un garde-"penser" pélican. Il n'y a plus qu'à les postillonner.
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Le tabac lui démolit autant la voix que le palais. Son clope qu'elle trempe dans le café lui confectionne une haleine de phoque. Celle-ci s’alourdit des reflux de sa digestion. Ses tripes lui déboulent dans le gosier qui gerbe une odeur à faire pâlir une gaye.
Allez embrasser ça après ! C'est pire qu'un lépreux parce qu'elle n'use pas de crécelle pour s'annoncer, elle vous prend dans le dos : elle pue et c'est toujours trop tard qu'on s'en avise. Un baiser ? Ça y est, c’est vous le putois. Jamais pot à tabac ne fut si bien porté.
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La gauchiste n’a aucun voisin : elle est le voisinage. Bruits, fêtes, cris, sa montre n’a pas d’heures. Elle a sa philosophie, celle du « respect » : « le silence, c’est pour les vieux, on aura toute la mort pour vivre sans le son, le bruit, c’est la vie. »
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L'idéalisme occidental pose la victime en parangon de l'héroïsme - antienne bien connue depuis qu'on fait commerce de la Shoah et des traites négrières (quid de la traite des blanches ? Oubliée ? Rigolo.) La gauchiste en est la caisse de résonance. L'ouverture d'esprit et l'esprit fessier infusent en sa personne avant de loufer ses assertions.
Il me souvient de cette fille. Journalope. Gauchiste. Il faudrait un Coluche (comique populaire donc populiste donc raciste) ou un Reiser (premier dessinateur à la Charlie hebdo mais anarchiste de droite s'il en fut) pour croquer son portrait. Les deux griffaient leurs contemporains en exagérant leurs travers qui minimisent aujourd'hui les tempéraments de gauche, notamment ceux qui prennent source à la miss météo de canal plus. C’est l’ahurie qui dispense des bréviaires de mal-pensance aux « provocateurs ». Provocs. Taquins. D'essstreme-drouate.
La miss est la modèle de la gauchiste-qui-invective.
C'est toujours la rhétorique de l'enfance contrariée.
Est aussi soupçonné un passé de victime de cour d'école, laquelle est alors méprisée mais comme la gauchiste n'est jamais à une contradiction près, alors, n'est-ce pas.
Ou bien est-ce l'accusation, balancée avec un sourire gourmand, de la petite queue qui est grosse chez l'immigré dont l'arsouille serait jaloux.
La gauchiste-qui-invective continue son réquisitoire d'un ton bambin, tout patelin, et enchaîne avec sa face de cruche. Fausse ! Elle achève l'adversaire en imaginant qu'il fut éconduit par une ou un pote auxquels il ne faut pas toucher.
Il me souvient donc de cette gauchiste qui m'avait envoyé un mail coulant de bonnes attentions. C’est Marie Claire dans son tonneau. Érigée sur le piédestal de sa supériorité qui la complexe, elle me conseillait « un psychanalyste ou un comportementaliste » (sic)afin de me faire soigner jusqu'à ce que je devinsse gauchiste. En bonne petite stalinienne, elle m'orientait vers l'hôpital psychiatrique. Avec son QI de 70, à peine supérieur à celui de l'aborigène, elle me donnait la leçon, à moi et à ma famille puisqu'elle prêtait un air inquiet à mon père qu'elle ne connaissait qu'en photos. La phobie, toujours. La peur scrutée, parce qu’elle annule le sourire accueillant du vivre-ensemble. Quel toupet ! Il n'y a qu'une gauchiasse pour manquer autant de pudeur ! Quelle obscénité ! Quelle indiscrétion ! L'ethnologie sociale est dangereuse. Je l'ai appris à mes dépens.
La gauchiste, elle et son engeance, hommes gauchistes aussi, parce que femmelettes, mettent autant de zèle dans leur idéologie qu'une Fräulein à traquer les juifs sous le IIIème Reich. La gauchiste eût été en 40 une nazie de la dernière force. Elle l'est aujourd'hui à sa façon, par fanatisme. Sa conviction de mieux savoir, soit de détenir la vérité, vient de la morale officielle qu’elle relaie comme si elle en était la source. Elle en passe le témoin qu’elle transforme en matraque au moindre refus. Il s’agit d’être « intolérant avec les intolérants », ou encore « fasciste avec les fascistes ». C’est l’ouverture d'esprit fessier dont on tâte aisément l’ontologie perverse, bricolée sur une aporie qui prouve que la gauchiste est intolérante et fasciste au sens où elle définit qui est fasciste. Cette théosophe de carnaval n'a honte de rien. Elle est inconsciente de tout si bien qu’elle croit penser par ce qui l’a abusée.
Elle subit un lavage de cerveau pire que celui qu’orchestrait la Propagandastaffel. Elle ne lève certes pas le bras mais bouge la patte afin d’uriner l’homélie apprise et restituée dans Pavlov. C’est là un comportement canin qui certifie sa nature instinctive qu’elle agace de tics. Ce ne sont pas des réflexes, trop humains pour cette automate, de sorte qu’il n’est pas obligatoire de lui réclamer la patte qu’elle tend de soi-même en une manière de heil gauchiste. Elle croit à son libre arbitre qui serait mu par une indépendance de volonté. Or il n’en est rien, elle est commandée à distance par un pouvoir abstrait rendu possible par la démocratie totalitaire. C’est un tour de force qu’elle réduit à un numéro de farce. Elle est un clown-clebs sans cirque, mais dompté sans qu’il soit plus besoin de fouet. Sans maître, il est normal qu’elle refuse l’autorité dont l’absence l’a précisément dressée. Seulement, elle perçoit trop rarement l’horreur de sa condition. Elle s’en avise au cours de crises d’hystérie sans s’en alerter une fois le coup de sang passé. Dans le tréfonds de sa psyché, elle tourne alors sur elle-même tel qu’un chien derviche qui tente de se mordre la queue. C’est que sans ordres, elle est paumée. La croyance d’être auto-engendré provoque des troubles du moi. L’identité jamais bâtie, ou du moins nullement construite, se réveille par l’auto-destruction qui est le principe du vide qui créerait du plein. La gauchiste est auto-destructrice. C’est ce qui conduit à ces morsures derviches que s’administre cette âme morte. Cela précède le suicide de la chair, soit qu’il est physique, soit qu’elle s’entiche d’un vrai fasciste. Comme mézigue. Salve ! C’est l’abandon amoureux. Ballade de la fendue. Ronde de midi. Enervement de l’enfant. Retournée, mise à l’envers de soi, elle tourbillonne sans direction fixe, par quoi elle est encore moins cohérente que le SS en herbe.
Il est néanmoins un exemple d’où lui vient son inertie. C’est son point de Reich : voyez ce racisme qu'elle traque partout : c'est donc qu'elle pense à la race tout le temps. Elle s'amende en prônant le métissage qui conduira à l'uniformisation ethnique, donc à l'absence de races, de sorte que la métissolâtrie est un antiraces. Tout le contraire de l’antiracisme ! La gauchiste est raciste et c'est précisément ici qu'elle le prouve. Le métissage est cette « incitation à la haine raciale » qu'elle s'emploie à « dénoncer ». Ou une « invitation » si tu préfères, sombre folle. Elle jure par la richesse des différences ou par la diversité mais il semble que l'autre verset de son psittacisme par lequel elle feule qu' « on est tous pareil » lui importe davantage.
L'Aristo dit que c'est bon quand ca fait mal
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