UA-63724026-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/04/2015

Du psy au nu, il n'y a qu'un choix - Le 30/04/2015

Pat Poker

Je hais la psychologie qui est l'esprit freudo-marxiste vomi par l'après-guerre. Il sévit partout. Il se propage grâce au petit-bourgeois par qui il atteste de son esprit féminin. Tant de petites psys analysent l’autre à l'aune des pensées qu’elles lui prêtent ! Un seul dîner mondain suffit à interner l’original. Les psys sont des cracheurs d'encre, de tâches s'entend, car ils n'écrivent pas. Que non ! Ils veulent que ca se dessine. Le pire est qu'avec leurs âneries ils gagnent de la thune.

C.G.Jung, c’est différent. Ce n’est pas de la psychologie freudo-marxiste. Il est intéressant lorsqu'il parle de l'individuation comme résistance à la dilution du moi ou de l'individu dans la collectivité, le risque étant que la conscience de la personne se confonde avec l'inconscient collectif. Or mouler son je à proportion de ce dernier est précisément ce qu'enseigne le freudo-marxisme ! Rabâché par ses prêtresses boboides, il salit Jung par ignorance et dévoiement.

J'admire Jung qui a su, par la seule observation de ses patients, prévoir la première guerre mondiale et ses déchaînements. Il a senti l’hystérie sourdre des résistances brisées. Jung a prouvé que le génie ne tient pas uniquement à la création mais réside aussi dans l'interprétation.

Je remarque ici que les freudo-marxistes sont fascinés non par la création mais par la créativité et que leurs génies sont des farceurs. Des créas. Les créateurs les intéressent moins que les créatifs. Ces derniers deviennent forces de vente dans la pub grâce à quoi s’affirme la freudo-marxie. Le pubard macère dans sa psychologie mercatique.

      L’inconscient collectif prend encore possession des esprits modernes, ce que l’individualisme combat maladroitement. Celui-ci permet que la liberté individuelle soit échangée contre une orgie de droits que des lois garantissent à condition de restreindre la liberté d’autrui, donc la liberté générale. Rigolo.

L’individuation identifiée par Jung se manifeste désormais dans une résistance en apparence violente mais d’essence pathétique. Un exemple est l’apparition sur scène d’un acteur nu durant la cérémonie des Molières. Venu pour un discours vindicatif, c’est dans le plus simple appareil qu’il choisit de manifester. A son corps exhibant, il conteste le sort réservé aux artistes. Tout penaud avec son cornichon rose, il débite son avis. Il s’épanche chez le psy cathodique en se calant sur son divan médiatique. A poil. La nudité n’est plus un délit, mais une opinion. Elle compose une fin d’expression qu’elle rend transparente. A la mode, ca, la transparence ! Tout doit s’afficher. Ca vient de Scandinavie, de Suède, la décérébrée de l’Europe. Faut tout montrer. Encore un peu et la chiée sera scène de rue.

L’autre soir, il n’est jusqu’à la trogne du type des Molières qui ne transparaisse comme il faut : elle est sérieuse, de rien n’était, mèche tombante et yeux ronds de bob. Le gars est l’être médian d’inversion, c'est-à-dire qu’il renverse les codes et crée une normalité symétrique en sorte que c’est sur la nudité que doit se deviner le vêtement et non sous celui-ci qu’elle s’annonce. Cet histrion porte mal la peau. Tout est su, tout est dit. De la posture à la tenue, c’est l’élégance du cul. Démocratie du fion ; l’urne des stries ; c’est le doigt qui vote ; vote à gratter ; doigts de l’homme.

La mise à mort de l’esprit particulier est donc retardée dans les mises à nu publiques. La psychologie personnelle vit des gags de l’affirmation de soi. A chacun sa séance, et pour tous.C’est que le corps n’est plus un rempart depuis qu’il est devenu le champ expression qui s’éloigne toujours plus de la pensée. Encore une fois, c’est avis et opinion. Le corps en est une motte avancée lorsqu’il accepte la chirurgie de genre pour s’appliquer des théories qu’il faut appeler études. Le sexe est maintenant une lotion magique dont on déciderait de s’enduire. Pourtant, le bob sexe procède moins d’une décision que d’une orientation que la personne impose à sa chair parce qu’elle n’aurait jamais choisi sa nature. Elle ne connaît pas que le déterminisme biologique dépasse les possibilités du libre-arbitre. Alors parfois, par un sursaut de lucidité, le sexe est remodifié au terme d’une réorientation. Le monstre obtenu est pire que tout. Ceci résulte d’un schéma mental d’inversion dont la victime est le corps : l’erroriste mutile son enveloppe jusqu’à devenir l’inverti de ce qu’il a été. La séparation de l’âme est consommée et c’est une des réalisations les plus abouties du bob monde. Jamais parent, mais toujours enfant de soi, bob le taré est plus trans que transparent si bien que l’épithète qui convient à la démocratie-qui-dit-tout est translucide. S’il fallait la personnifier, un malade au teint diaphane conviendrait. Il serait nu, sans gonades ou avec, mais alors montrées, avec la femme disséquée, ventre travaillé jusqu’à l’utérus déposé sur zone, un être de Bosch, et l’homme brandirait ses couillons, c’est mon choix ! que ca dirait, orientation ! GPS des biologies ! Va-nu-psy va-nu-cul et va-nu-choix !

 bosch18.jpg

L'Aristo présente le bob Bosch chirurgicalement modifié

Les commentaires sont fermés.