11/02/2015
Remarques sur L'Aristo - 11/02/2015 - Où la Nicole et le grand Mom et Sylve traînent leurs ombres
Les petites choses du quotidien, ce sont les remarques et mes notes mentales sur le temps, sont d’abord moins prétexte à penser qu’à divaguer. C'est-à-dire que le point de départ des écrits de L’Aristo porte à la divagation sur un fil s’amenuisant à mesure que la pensée s’aiguise. Alors une pensée apparaît. Je m’y remets d’autant mieux qu’elle s’affine et qu’elle réclame d’être affinée. C’est mon travail quotidien.
Il en ressort que je suis dépassé par mes propres pensées qui surgissent malgré moi et presque malgré elles comme d’un démon hors la machine. Elles disent souvent autre chose que ce que l’intention promettait. La Nicole accorde plus de crédit à l’intention qu’à l’action et en ce sens, il me donne raison et me conforte dans L’Aristo. Toujours s’en remettre aux intelligents, ils flattent moins qu’ils rassurent. Ils aident bien plus qu’ils croient. J’ai la chance, tout con que je suis, de compter autour de moi de sacrés beaux esprits à qui j’adresse les billets de L’Aristo. Leur lecture vaut jugement parce que si je parviens à capter leur attention, c’est que je tape juste. Frapper mal ou bien : peu me chaut, c’est juste qu’il faut viser. Que ne puis-je manifester plus haut et plus fort ma joie de lire un autre mien ami, le grand Mom, lorsqu’il me dit que j’ai encore ciblé juste. Il me faut saluer aussi la perspicacité de Sylve, femme faune de mes lecteurs qui perçoit ma vie entre les lignes. C’est important de savoir que le voile de Maya abandonné sur L’Aristo est écarté sans sourciller.
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